Quand la poudreuse se transforme en sillons boueux, les lumières urbaines se déploient pour caresser les contours salis afin de nous faire patienter. Oh comme j'ai hâte de m'extasier devant les premiers bourgeons, de humer les nouvelles enjôleuses des herbes folles et de sentir les premiers émois des fleurs...Cela doit être mon côté bobo, tant pis, j'assume. Je laisse "l'underground" à qui veut, si on a besoin de moi, je suis au-dessus ;-)
J'adore la deuxième, une belle plongée dans la neige!
RépondreSupprimeret hop ;-)
RépondreSupprimerChats et chattes sur un toit glacé... Oui!!! vivent les herbes folles et les soleils qui calcinent.
RépondreSupprimerMais enfin la neige salie par les goudrons civilisés, la sluch (?) de Montréal, enchante aussi : quand on a les pieds au sec, 3 étages plus haut.
Signé la marmotte Vaillante, comme le chauffe-eau du même nom, dans l'attente des petits matins engourdis par le parfum des fleurs. Même les vénéneuses à piquants et allergisantes..., je prends, je prends...
Tu prends bien l'hiver dans ton objectif, moi mon objectif est de prendre l'hiver en grippe et d'attendre le PRINTEMPS.
Mais, tout de même, c'est beau comme un ours blanc sur un iceberg.
argh je fonds...
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