dimanche 27 décembre 2009

P'tit Gars en mode pause.


Quel bonheur quand ces bambins qui agitent nos journées se figent quelques moments pour laisser les rêves se balader entre les limbes de leur imagination. Celui-ci pose allègrement le temps d'une pause entre quelques guerres playmobilesques...

"Les enfant sont des énigmes lumineuses." (Daniel  Pennac)




dimanche 6 décembre 2009

Dimanche littéraire 1

En m'inspirant d'un de mes compagnons de blog "La Méduse et le Renard" qui est axé sur l'écriture, j'ai eu l'envie de faire parler mes photos par le biais de diverses plumes autant par le nombre que par les univers différents.
Tous les premiers dimanches du mois, je posterai donc une photo et vous inviterai à y écrire ce qu'elle vous inspire, de la façon qu'il vous plaira.
Un mariage des plus créatifs et, je l'espère, des plus féconds...


samedi 5 décembre 2009

Les bloggeuses GIRL GEEK chez Anne-Sophie

Je ne connaissais pas du tout les Brussels Girl Geek. Si j'ai bien compris le principe, ces bloggueuses testent tout ce qui peut intéresser les femmes en général (oenologie, technologie, beauté, fringues...) Ce mercredi 2 décembre, elles ont débarqué chez Anne-Sophie! Certains vont me dire "encore?", "Tu fais de la pub ou quoi?" Et bien oui, quand j'aime, je ne compte pas. C'est qu'on s'y sent bien dans ce magasin. Le choix est incroyable, quelque soit le style que l'on adopte. Et puis, y a mon amie Julie, celle dont je parle dans le message précédent. Enfin bref, promis, j'arrête les violons et j'en viens au fait.
Les filles ont tout testé : coiffure, maquillage, les petits fours, et bien sûr les vêtements. Il y avait même des lots à gagner (mini-enceinte pour ipod, karaoké ipod, télécommande universelle de pointe et un bon cadeau Lawrence Kazan)pour que les bloggueuses puissent tester et en parler ensuite sur la toile.
Je me suis faufilée parmi ces pros de la critique, mon petit d40 en bandoulière, et j'ai shooté avec plaisir. En fin de compte, moi aussi, je suis une bloggueuse, pas très testeuse (quoique ;)))mais surtout voyeuse. La gentille organisatrice (la fondatrice du groupe bruxellois) Clo Willaerts m'a offert un numéro pour participer au tirage au sort des lots à gagner.
Le 29...

Moi qui ne gagne jamais...

J'ai pu chanter à tue-tête dans mon salon grâce à ce fameux SingStand memorex . Ahahaha j'adore ce truc, et mon fils encore plus (les voisins, je ne sais pas ;-). Bref, je pense que je vais devenir une Girl Geek, ça me plait bien, surtout si c'est toujours aussi sympa que chez Anne-Sophie.

mardi 1 décembre 2009

La caverne de ma Julie

Julie, c'est mon amie d'enfance, une des qu'on n'oublie pas. Et grâce à Facebook (eh oui, il n'y a pas que des désavantages), nous nous sommes retrouvées après des années de vie en parallèle.J'ai redécouvert wonderwoman : elle a trois sublimes enfants (dont des jumelles) et gère d'une main d'or un super magasin de vêtement "Anne-Sophie smartshopping". J'en ai profité pour y jeter un oeil lors du dernier événement (week-end de la femme). Maquilleuse, coiffeurs, coloriste et des fringues...J'adore!

jeudi 12 novembre 2009

Alice on the rock

Mon premier studio avec une vraie maquilleuse (Valou les doigts de fée) et de vraies filles qui posent pour moi!
Quel plaisir de mettre en scène et de figer l'ambiance! Mélanger l'imaginaire magique de nos dix ans avec quelques paillettes rock and roll de nos trente et des poussières...Une ode à Monsieur Tim Burton pour la sortie prochaine de son Alice à lui . Et malgré l'absence de Johnny Depp, nous nous sommes laisser rêver...
Merci Silvio pour cette première fois très enivrante...
Merci Julika et Nathalie d'avoir changé de peau l'instant de quelques poses ;-)

vendredi 30 octobre 2009

Anis à l'Orangerie au Botanique, 29/10/2009

Ces quelques mots de mon invité de coeur au concert d'hier soir : "Alors. Jeudi 29 octobre 2009, Anis à l’Orangerie du Botanique from Brussel. Anis, très loin des vapeurs anisées du Ricard des campings à la Dubosc. Ouf, j’ai horreur des soirées à Cabaret du Monde des cons. Non, plutôt badiane, la fleur de la méditerranée, mais aux origines mâtinées de Ruskoff, sans ses papiers, passé par la « Gare de l’Est », toujours à l’Ouest, gentil à l’Ouest. Sur scène, après une très belle première partie de petits gars de chez nous (au nom imbittable de « Sinus Georges », quand même on dirait une maladie qui glaire) Sinus Georges
: voici que déboulent 7 Blues Brother’s, fringués à la chicos : 2 cuivres, 2 guitares (dont 1 clavierzenplus), 1 batterie, 1 basse-contrebasse, frangin du chanteur anisé. Sans oublier Anis 1er. Lui-celui-ci arrive un peu stressé, en tout cas super concentré. Il lui faut 2-3 morceaux pour se lâcher les zygomatiques. Mais alors ça y va. Super énergie, présence et prestance, entouré de gaillards qui savent ce que jouer veut dire. Et qui se prennent un vrai pied qui pue pas la prétention. Le répertoire – qui pépite- emporte les mecs et les pépettes – un public trentenaire et quadra avec des petiots et quelques jeunots, tout le monde quoi-. Ca valse musette, ça ragga, ça reggae, ca rock à Billy et aux autres... surtout ça groove grave, un peu soul Motown sous de beaux éclairages et avec un son plutôt pas mal précis. On peut encore améliorer la clarté du mec qui chante en français, merci pour les violons et les sanglots longs des sonotones. 2 bonnes heures festives sans gras du bide (à la Sébastien, j’y reviens), de l’élégance sans prise de tête. Un super concert avec des rappels de chez rappel et un Anis (sans pluriel) qui s’ouvre, rit, se marre et nous amuse. En somme de la vraie chanson française mondiale, sans Sevraneries désevrantes. Un excellent moment, je vous dis. Pierre VD http://www.myspace.com/anislachance Site officiel d'Anis

lundi 5 octobre 2009

Le plus beau métier du monde...qu'ils disaient...

"Chère Madame Simonet, Le début de cette lettre devrait vous rassurer. Vous allez bientôt réaliser de substantielles économies dans l'enseignement, bien plus sans doute que ce que vous espérez. Et, pour cela, vous n'aurez même pas besoin de vous confronter aux professeurs et aux syndicats. La Communauté française fera des jaloux en atteignant l'équilibre budgétaire avant 2015. Génial, non ? Pour atteindre vos objectifs, vous ne devrez pas fournir beaucoup d'efforts. Suivez donc la voie empruntée par vos prédécesseurs, saupoudrez-y encore un peu plus de mépris à l'égard des enseignants et vous achèverez la tâche entamée avec zèle avant vous. Quand, enfin, il n'y aura plus de profs, quand plus aucun jeune ne voudra s'engager dans le métier et que tous les anciens l'auront quitté, la Communauté française sera sauvée, Madame la Ministre ! Plus de salaires à verser, plus d'argent à dépenser pour les bâtiments qui tombent en ruine et où nous devons enseigner aux enfants à aimer le beau et la citoyenneté responsable, plus de profs pour se plaindre de ne plus pouvoir mener leur mission à bien. La Communauté française deviendra le désert éducatif qu'elle mérite d'être et elle ne coûtera plus un centime aux pouvoirs publics. Les écoles privées, dont seuls les nantis pourront se payer les services, s'épanouiront et les pauvres apprendront l'alphabet en regardant les lettres en vermicelle de leur soupe ! Voulez-vous en arriver là, Madame Simonet ? Voulez-vous ajouter votre nom à ceux de sinistre mémoire de celles et ceux qui, avant vous, petit à petit, mais sûrement, ont déstructuré, voire détruit l'enseignement dans la partie francophone du pays, celles et ceux qui ont cassé du prof et qui, à force d'inconscience et de décrets débiles, ont fait fondre les enthousiasmes ? http://rmgr.pressbanking.com/scripts/GetImg.asp?t=O&n=5173&o=24441&z=9&a=9955&v=300434&r=090924\Art84.htmlJ'enseigne depuis près de trente ans, Madame, et je suis heureux dans mes classes. Pourtant, au fil des ans et des réformes, je constate que mon métier devient de plus en plus difficile à exercer et que, bientôt, plus aucun jeune ne choisira de s'y engager. Que deviendra notre société sans école, Madame la Ministre ? Je suis en colère. Vous faites croire au grand public que nous travaillons vingt à vingt-deux heures par semaine. Faisons un rapide calcul : 22 heures de présence devant nos classes + 22 heures (et c'est compter petit) pour préparer nos cours et les batteries d'exercices interactifs selon les nouveaux critères mis en place par le ministère + 20 heures pour corriger les interros (environ douze minutes par copie multipliées par une centaine d'élèves, et en français, douze minutes, ce n'est pas un luxe !). J'en arrive déjà à plus de soixante heures par semaine et, bien entendu, je ne compte pas la pédagogie différenciée à mettre en place au fil des jours, les surveillances à réaliser bénévolement, les bulletins, les conseils de classe, les réunions de parents, les élèves en difficulté à aider pendant les récrés ou sur le temps de midi, les concertations avec mes collègues… J'arrête là, Madame ! Je ne voudrais pas vous donner l'impression que je travaille plus que vous ! Cela pour un salaire qui fait sourire les gens qui, à diplôme égal, bossent dans le privé. Qui ont un véhicule de société, qui ont le temps de faire une pause-café, qui ne doivent pas gérer des groupes de jeunes parfois très difficiles, qui ne sont pas confrontés à des parents de plus en plus revendicateurs et irresponsables, qui ne doivent pas se transformer en psy, en infirmier, en policier… et qui ne sont pas sans cesse à la merci de nouvelles règles pondues par des chercheurs en chambre qui trouvent des solutions miracles impraticables sur le terrain ! Sans compter les cohortes d'inspecteurs qui, en deux coups de cuillère à pot, décident de la valeur d'un prof qui se consacre, avec bonheur et avec honneur, à son métier parfois depuis plus de vingt ans ! J'en ai rencontré, et plus d'un, des gens qui ne croyaient plus en leur travail, qui ne croyaient même plus en eux, après la visite de vos évaluateurs ! « Merde », Madame la Ministre ! Le mot n'est guère choisi, surtout pour un professeur de français, mais il convient à la situation. En nous infantilisant, en nous ôtant la gestion de notre métier, en nous faisant passer pour des nuls, vos prédécesseurs et vous n'avez eu de cesse de détruire « le plus beau métier du monde » depuis les années 90. Si cela ne concernait que nous, ça n'aurait peut-être qu'une moindre importance, mais ça concerne les enfants de la partie francophone de notre pays, ça concerne notre avenir à tous ! Peu vous importe, sans doute. Lorsque, faute d'écoles et de profs, votre fonction n'existera plus, on vous dénichera un autre portefeuille. Mais vos futurs électeurs, devenus analphabètes, comprendront-ils encore qu'ils doivent voter pour vous ?" Frank Andriat, écrivain, professeur à l'athénée communal Fernand Blum de Schaerbeek, auteur de « Vocation Prof » (éd. Labor/Érasme)

dimanche 27 septembre 2009

Manifestation contre le port du voile à l'école

"BRUXELLES — Plusieurs centaines de personnes ont manifesté samedi à Bruxelles pour réclamer l'interdiction par la loi du port du voile islamique et de tout autre signe religieux dans les écoles de la communauté française du Royaume. "Pas de voile à l'école", ont scandé les manifestants rassemblés devant le siège de la communauté française à l'appel des représentantes du Comité belge "Ni Putes, Ni soumises", de l'association "Insoumise et dévoilée" et du Réseau d'action pour la Promotion d'un Etat laïque. La communauté française est l'institution qui représente les francophones de Bruxelles et de Wallonie, soit 40% des habitants du Royaume. "Il est inadmissible de voir des fillettes de 4-5 ans se rendre à l'école voilée et garder le voile en classe. Aujourd'hui la décision de l'interdire est laissée à l'appréciation des directeurs d'établissements. Ce n'est pas normal. Nous réclamons une interdiction par la loi, à l'exemple de ce qui a été décidé par la communauté flamande", a expliqué "Karima", représentante de l'association "Insoumise et dévoilée". Une poignée de femmes musulmanes ont participé à ce rassemblement. "Elles ont peur", a expliqué Karima, écrivain Belge d'origine marocaine, qui raconte vivre cette situation au quotidien à cause de son engagement. Les organisatrices de la manifestation ont insisté sur la nature de leur combat. "Nous ne nous battons pas pour faire interdire le voile en Belgique. Ce n'est pas notre combat. La liberté religieuse existe en Belgique et elle doit absolument être préservée. Nous nous battons contre le port du voile à l'école et l'obligation faite aux fillettes musulmanes de le porter", ont-elles expliqué. La bataille contre le voile à l'école divise les francophones. Plusieurs figures du féminisme et de la laïcité se sont prononcées contre l'interdiction du voile à l'école au nom de la liberté et du libre arbitre, a expliqué au quotidien le Soir la députée fédérale Ecolo Zoé Genot, l'une des personnalités à l'initiative d'une pétition contre l'interdiction du voile signée par de nombreux élus. Près de 400.000 musulmans vivent en Belgique. Copyright © 2009 AFP."

mardi 25 août 2009

Paris au mois d'août...

C'est comme un été sans glace au spéculoos, Laurel sans Hardy, un hiver sans choucroute, un tango sans musique, un chewing-gum sans saveur, un apéro sans chips, un film sans (bons) acteurs, Batman sans Robin, les Bronzés sans ski, un barbecue sans saucisse, un clown sans enfant, un musicien sans instrument, une ville sans musée, un livre sans histoire, une école sans récréation, un mensonge sans vérité, un chocolat sans cacao, une chanson sans mélodie, ...

samedi 15 août 2009

30 millions d'amis

"L'homme est un animal qui du moment où il vit parmi d'autres individus de son espèce a besoin d'un maître. Or ce maître, à son tour, est tout comme lui un animal qui a besoin d'un maître."(Kant) C'est vrai que j'ai beau dire "C'est moi le chef", ma tête n'opine pas toujours. A force de changer de casquette, elle finit par en oublier son autorité. Combat vain de têtes à claques qui coupent les cheveux en quatre puisqu'il est plus facile de changer de chef que de tête.

mardi 4 août 2009

"J'ai tout donné au soleil, tout, sauf mon ombre."

Je dirais même plus mon cher Apo! Les cigales ont enchanté nos journées, le petit rosé a rafraichi nos pensées, les effluves provençales ont solidifié les amitiés et les souvenirs nous feront patienter...

vendredi 3 juillet 2009

Mon cracheur de feu

Il m'a fait découvrir l'absolu sans condition. Il m'exaspère parfois mais toujours avec plaisir. Il rugit, il rit, il exige, il prend, il défait, il construit, il imagine, il rêve,il râle, il défie, il câline, ... C'est un cracheur de flammes naturellement. Un de ceux qui réchauffent l'admiration d'un public conquis d'avance.

dimanche 28 juin 2009

Concert de Selva à la Porte Noire

Super concert de Selva ! Ambiance, rythme et bonne humeur! Je ne connaissais pas cette cave à concerts et à bières, rue des Alexiens à Bruxelles. Pour les photos, ce n'était pas le top car comme dit mon ami Marco :"quand t'as pas de lumière, t'as pas de lumière!" Alors malgré mon ouverture à 2,8, le bruit s'est installé sur l'image ;-) En tous cas, l'énergie fut bonne! Vivement le prochain!

samedi 20 juin 2009

Reflets propres!

Le temps passe encore, inévitablement avec ses joies et ses peines...Bla bla bla... Je n'ai rien de poétique à vous proposer sauf ces toilettes! Sommes-nous tous égaux devant nos besoins les plus naturels? Sommes-nous tous égaux devant les reflets de nos regards? Sommes-nous tous égaux face à l'attente de la fin ou de la faim? Bla-bla-bla. Je rage, j'enrage, je grogne et je hurle...De beaux projets à concrétiser...difficiles... En attendant, Tirons la chasse, lavons-nous les mains et repartons légers...

mardi 2 juin 2009

Week-End au Soleil

Cela ressemble à une chanson d'Etienne Daho. Heures indoues en moins. Que dire d'autre si ce n'est que "c'est bon"! On reçoit des amis, on est reçu royalement chez des amis, on retrouve de vieux amis, on retrouve la vieille famille... On se laisse bercer par les doux degrés estivaux qui effacent nos grisailles apparentes. On communie, on partage, on trinque, on mange, on rit, on profite du temps qui passe trop vite quand on est bien. Et on se prend 3 kilos...de gourmandises, de bonheur, de mélanine, de sable de plaine de jeux, de discussions constructives ou non, de rails de ciel enflammé, de fatigue de mon p'tit bonhomme, d'émotions simples, d'envie de figer les jolies choses...ok Mais 3 kilos quand même. Au diable l'avarice, je compte bien les redistribuer.

samedi 30 mai 2009

Les p'tits gars de ma répèt.

Tous les jeudis, on se retrouve pour "musiquer" ensemble. Entre les morceaux, c'est la pause clope dans le couloir. Ils se sont prêtés au jeu du shooting, assez facilement d'ailleurs...Trois4Loop, c'est le nom de notre groupe. Z'avez vu leur regard bienveillant à ces p'tits mecs de mes chants? Comment ne pas avoir envie de les prendre en photo...s? Pour ceux qui voudraient le son qui accompagne, on a un concert le 4 juillet à Ixelles (Rue E.Cattoir 14) dans une petite salle, à côté du resto "Les foudres". Ahahahaha ça va être du tonnerre ;-) (oui j'ose!) La photo des clés, c'est une private joke avec le mec de mon coeur qui m'a enfermée dehors, mais ça c'est une autre histoire...

lundi 25 mai 2009

Les inclassables du jour sans être ceux de toujours

"La chanson est expansion dans le passé, la photo finitude. La chanson est le sentiment heureux du temps, la photo son tragique. J'ai souvent pensé qu'on pourrait raconter toute sa vie seulement avec des chansons et des photos." (Annie Ernaux) ou inversement, c'est selon...

vendredi 22 mai 2009

Objo jojo au cimetière d'Ixelles

J'ai craqué, j'ai eu ma p'tite folie, je l'aimeuuuuuuu mon nouvel objectif lumineux... Je vais pouvoir shooter en concert de façon bien plus légère (au sens bien figuré) les beaaaaux musicos suant leurs mélodies envoûtantes et endiablantes. Ahahahaha ok, ok, tagada tagada voilà les Daltons, il n'y a plus persoooooooooooooooooooooooonnne. Faisons clair, mon petit sigma 18-50 qui ouvre à 2,8 (c'est un joli début, non?) en poche, je me suis promenée en très bonne compagnie d'apprentissage (RE-merci Neele) au cimetière d'Ixelles. Il faisait beau, il faisait chaud mais pas de légionnaire (ouf)...Juste le plaisir de la photo. J'ai déjà expliqué mon attirance vers les cimetières, univers de mémoire(s)d'êtres de passage. Les portraits dans les portraits figés à la vie à la mort.

mardi 19 mai 2009

Fête de schtroumpfs

Une école, des enfants et l'annuelle fancy-fair obligatoire sous peine de devenir un monstrueuse môman sans coeur. Tu parles, mon fils fait la fête (surtout la mienne) tous les jours. Je n'ai pas besoin de la danse programmée pour me rendre compte de ses talents artistiques. Mais, aux yeux révolvers de mon mini bandit, je ne puis me dérober ... Tout pour ma p'tite gueule d'Amour.